La gauche française a une histoire longue et compliquée, qui remonte à la Révolution française. Cependant, en général, la gauche a traditionnellement été associée à la défense de la justice sociale et des valeurs progressistes, tandis que la droite a été davantage associée au conservatisme et aux valeurs traditionnelles.
De 1945 à 1981, il y a eu un certain nombre d’avancées sociales réalisées par la gauche française. L’une des plus importantes a été l’introduction des soins de santé universels en 1945. La gauche française a également joué un rôle dans l’expansion des programmes de protection sociale au cours de cette période, y compris des programmes comme l’assurance chômage et les pensions de retraite.
La présidence de Mitterrand a été marquée par un certain nombre d’avancées sociales pour la gauche. Celles-ci comprennent l’introduction de nouveaux programmes sociaux, tels que les allocations familiales et le salaire minimum, ainsi que l’expansion des programmes existants, comme l’assurance chômage et les pensions de retraite.
Mais depuis l’élimination historique de Lionel Jospin au second tour de la présidentielle en 2002, la gauche française semble prisonnière des vices universels décrits par les péchés capitaux : paresse, colère, envie, avarice, luxure, orgueil et gourmandise. Selon Astrid de Villaines, auteur du livre « Les sept péchés capitaux de la gauche », cette lente décomposition de la gauche française s’explique au prisme de ces passions dévastatrices.
A travers une plume incisive, l’auteure décrit les vingt années d’affaissement de la gauche au profit du Rassemblement national et de l’abstention. Elle analyse les raisons pour lesquelles cette dernière n’arrive pas à se relever malgré les échecs répétés des différents partis politiques qui la composent.
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